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Plan local d'urbanisme de Clermont Auvergne Métropole

Quels sont pour vous les principaux leviers sur lesquels agir pour mener à bien la transition énergétique et environnementale de la métropole ?
  • Le changement climatique impose une transition énergétique pour une moindre dépendance aux énergies fossiles. Concevoir une ville plus sobre en énergie, améliorer l’efficacité de nos systèmes urbains, développer les énergies renouvelables sont les grands objectifs d’une transition réussie.

 

  • Le PLU agit sur les secteurs les plus consommateurs d’énergie et émetteurs de gaz à effet de serre en France : le bâtiment et les transports. Il peut favoriser une architecture bioclimatique ou favoriser une urbanisation à proximité des transports en commun pour limiter l’usage de la voiture …
Contribution 5 contributions 4

Débat terminé
23 juin 2021 -09H42
avoir une ligne 27 de bus avec une fréquence décente (c'est-à-dire au dessus de la fréquence actuelle de 1 aller/retour pour jour ! Quelle métropole dans le monde propose des bus qui passent une fois le matin, une fois le soir ?
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Etienne
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19 juillet 2021 -15H52
DONNER UNE VISIBILITÉ SUR LE DEVENIR DE CHAQUE BÂTIMENT : Du fait des évolutions décorrélées des règlements d'urbanisme et des exigences de performance thermique, certaines constructions sont dans une situation paradoxale: D'un côté, le PLU autorise une telle densité que le terrain peut prendre plus de valeur que le bâti, d'un autre côté, l'état, via l'ANAH, encourage et subventionne des travaux de rénovation énergétique sur le bâti. Dans les 2 cas, on fait l'impasse sur les autres aspects qualitatifs du bâti. On a donc le risque de voir des travaux de rénovation se faire avec des fonds publics sur des bâtiments qui seront peut-être rapidement démolis. Ceci par manque de visibilité et de pilotage sur le devenir de chaque bâtiment. En effet, les seules règles de hauteur et de CBS ne permettent pas de dégager clairement une hypothèse d'évolution cohérente pour chaque quartier. Cela conduit les investisseurs à démolir et reconstruire lorsque le saut de densité est important. Il serait intéressant de transposer la méthode en vigueur dans les PSMV (peut-être en plus léger) qui permet de savoir, pour chaque construction, si elle a vocation à être démolie, rénovée ou conservée en l'état.
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D'ACCORD
Etienne voir sa fiche
19 juillet 2021 -15H59
Ce travail doit se faire en recherchant non seulement une solution optimale pour chaque bâtiment, mais aussi une cohérence par quartier. Si un quartier présente actuellement une cohérence en termes de forme architecturale, de qualité des constructions, de bon état général, etc, mieux vaut éviter l'effet chaotique de quelques opérations opportunistes disproportionnées. (Avec les murs aveugles en limite, etc.) En revanche, si un quartier est globalement vétuste et a vocation à se transformer en profondeur, il faudra éviter de financer des travaux de rénovation inutiles sur un bâti condamné.
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Etienne voir sa fiche
19 juillet 2021 -16H06
Il faudra bien sûr intégrer les qualités urbaines et patrimoniales dans l'évaluation du bâti.
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Etienne voir sa fiche
19 juillet 2021 -16H33
En gardant aussi l'objectif d'éviter d'encourager la démolition de bâtiments en bon état. Les gains de densité les plus importants conduisent en général à des opérations de démolition-reconstruction. C'est pour cela qu'il faudrait les réserver aux secteurs dont le bâti est de piètre qualité.
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